Série Insolite. Épisode 6 : « Marty Kiss » L’Actrice Porno Se Transforme En Cougar. Partie 3/3

Lors de la seconde partie, je vous ai expliqué comment Martine qui avait tant rêvé de devenir mannequin c’était retrouvée à tourner des films X avant de connaitre en juillet 1985 l’amour de sa vie. Jacques avait un tout petit sexe et ne pouvait pas éjaculer deux fois de suite, il était un voyeur invétéré et par la même occasion candauliste. Après avoir proposé à Martine prendre des amants, Quelques jours plus tard, Jacques qui connaissait déjà la réponse, relança le débat en lui demandant quel genre d’homme, mis à part Pierre, l’avait marqué le plus. Sans aucune hésitation, elle répondit : « Hubert le photographe, il avait une totale emprise sur moi, je n’arrivais pas à lui refuser quoique ce soit. » :
— Et si aujourd’hui, il te demandait de te baiser, tu accepterais ?
— Je ne sais pas mon amour. Pourquoi me demandes-tu ça ?
— Il nous invite le week-end prochain à son pot de départ en retraite, j’ai déjà réservé l’hôtel.

Ce samedi de mai 1986, ils étaient tous les deux en amoureux à Paris, ils s’étaient vêtus de leur plus belle tenue et se trouvaient dans la grande salle de réception où de nombreux invités fêtaient les trente années d’exercices du photographe de charme. Lorsqu’ils avaient rencontré Hubert, celui-ci fit la bise à Marty en la fixant dans les yeux : « Tu es toujours aussi bandante petite coquine, tes nibards n’ont pas changé. » Dit-il en la pelotant sans retenu et poursuivit en regardant son compagnon : « Salut Jacques ! alors c’est vrai, tu vis avec cette petite salope. Regarde, elle ne dit toujours rien. » Remarqua-t-il en malaxant toujours son sein :
— J’aimerais bien que tu me fasses une pipe au chiotte Marty. Je peux te l’emprunter un moment Jacques ?

Martine ne savait plus où se mettre, elle regrettait d’être venue, elle savait très bien comment cela allait se terminer, cet homme l’avait déjà fait mouiller. Par acquis de conscience, elle regarda Jacques qui acquiesça en clignant des yeux et en ajoutant : « Vas-y ma chérie si ça te dit.

» Hubert pris sa main et la tira vers les toilettes sous le regard de Jacques qui ne s’était pas permis de les suivre car il savait qu’il avait toute la soirée pour prendre son pied. Dix minutes plus tard, le photographe à la retraite éjaculait au fond de la bouche de son ex actrice qui avait mis tout son cœur pour avaler ses 17 cm en gorge profonde afin de le satisfaire avec une magistrale fellation.

En revenant, avant de repartir vers d’autres invités, Hubert avait raccompagné Martine auprès de son chéri et lui dit :
— J’espère que son cul est toujours aussi bon que sa bouche, j’attends ce soir avec impatience.
— Qu’est-ce que cela signifie Jacques, qu’as-tu prévu ? demanda-elle une fois que le retraité fut parti.
— Je lui ai demandé de venir dans notre chambre mais si cela te gêne, nous pouvons annuler.
— Tu aurais pu me le demander avant. Répondit-elle en élevant la voix pour la première depuis qu’ils se connaissaient.

Martine fit la tête toute l’après-midi, elle n’avait fait que de discuter avec d’anciens collègues hommes et femmes mais à la fin de la réception, lorsqu’Hubert arriva vers eux sur le parking et lui dit : « C’est bon ? T’es prête à te faire baiser salope ? » Elle ne répondit pas et n’essaya même pas de demander à Jacques, elle monta directement à l’arrière de la voiture aux côtés de son futur amant pendant que Jacques conduisait, tout en regardant dans le rétroviseur. Hubert l’avait tellement doigté sur le trajet, qu’arrivée dans la chambre d’hôtel, Marty avait le fond de sa petite culotte trempée.

Tout fut établi à l’avance entre les deux hommes, Jacques s’installa sur le fauteuil et regardait la scène. Elle n’eut pas l’occasion de se dévêtir, le photographe mit sa jolie robe de soirée en lambeaux puis d’un seul coup, il arracha son soutien-gorge avant de déchirer sa petite culotte, la laissant uniquement en bas et porte-jarretelle pour le plus grand plaisir de Jacques qui n’en loupa pas une seule miette.
Hubert la connaissait, il se rendait bien compte de son trouble, il se pencha vers elle, posa ses lèvres sur les siennes. La langue du retraité jaillit dans sa bouche, cherchant celle de sa soumise, puis s’enroula dans une folle farandole. Elle sentait sur sa cuisse la grosse bosse dure de son sexe à travers son pantalon.

Après une courte fellation, Hubert la baisa une première fois en l’insultant, en l’humiliant et avec une grande brutalité, ce qui n’empêcha pas la jeune femme de jouir abondamment avant qu’il n’éjacule entre ses seins. Puis Jacques sortit son jouet favori et le plaça dans la bouche de Martine pour l’enduire de salive puis le glissa délicatement dans le vagin de son amie avec beaucoup de passion et de tendresse le temps qu’Hubert reprenne un peu de force. Mais celui-ci avait pris ce qu’il fallait, après le deuxième orgasme dû aux va et viens de « Pierre » son sextoy préféré, il dit : « À nous deux, salope ! Donne-moi ça. »

Hubert attrapa le jouet, la retourna et lui enfila sans ménagement dans sa chatte trempée puis la sodomisa avec une grande sauvagerie, lui mettant des claques sur les fesses et en lui triturant les tétons devenus très sensibles, pendant que Jacques la caressait et l’embrassait, il était heureux comme un gosse et Martine jouissait de plus belle. Le photographe ne semblait pas fatigué, il s’activait dans son rectum, lui ramonait le conduit anal et au moment qu’il resta planté à l’intérieur de son cul pour se vider, Jacques qui se branlait énergiquement, vint placer son petit pénis entre les lèvres de sa dulcinée pour éjaculer une grande quantité de sperme dans la bouche de sa compagne.

Hubert se rhabilla et sortit de la chambre, sans un mot, sans même une quelconque marque de tendresse : « Salut Jacques ! Si tu as envie que je baise ta pute, appelle-moi. » Cette nuit-là Martine, avant de s’endormir dans les bras de son ami, le remercia pour cette soirée magnifique. Elle avait vraiment apprécié de se faire baiser par le retraité devant lui, cette situation l’avait excitée au plus haut point et comme son appétit sexuel était toujours aussi important, elle lui demanda de renouveler l’expérience.
Jacques avait connu quant à lui, une de ses meilleures soirées, dès le lendemain, il avait accepté et demanda à Hubert de revenir quand il le voulait.

Pendant un an, toutes les semaines, Jacques partageait sa compagne à ses amis des sexagénaires en forme, à tour de rôle mais ils s’arrangeaient pour rencontrer Hubert une fois par mois. Pour Martine, il était évident que le photographe était largement son préféré, avec lui tout était différent, elle attendait avec impatience et comptait les jours sur le planning car lui seul avait le pouvoir de la déstabiliser pour son plus grand plaisir. Depuis qu’elle le connaissait, elle ne lui refusait jamais rien et ce vendredi soir d’octobre 1987, lorsqu’il dit à jacques qu’il emmenait sa petite chienne en vacances de noël, elle avait accepté tout de suite, sans même demander à son compagnon qui refusa qu’elle parte seule avec son Dominant.

Martine lui désobéit et avait rejoint le photographe chez lui à Paris. Dès son arrivée, elle avait pris une fessée, sous prétexte qu’une pute ne doit pas quitter son homme sans son contentement. Puis Hubert l’encula avec une grande sauvagerie avant de l’enfermer nue dans le sous-sol, toute la nuit et la journée suivante. Le samedi soir trois paysans, la cinquantaine avec une barbe fournie et des cheveux longs et sales, firent irruption dans le cellier. Les trois frères avaient encerclé Marty entièrement nue, l’entourant et la collant de plus en plus près et se frottèrent contre elle. Martial se plaquait dans son dos, tandis que Philippe, face à elle, pressait son buste poilu contre ses seins et effleurait son cou avec sa bouche. Quant à Patrice, sur le côté, prenait son visage dans ses mains pour l’embrasser.

À quatre pattes sur des palettes recouvertes d’une couverture, elle subit leurs assauts. L’ainé lui martyrisa les seins, pendant que les doigts des deux autres s’entremêlaient dans sa chatte et son cul sans ménagement. Elle ne connut que cela comme préliminaires.
Philippe allongé la pénétrait en tenant bien son cul entre ses mains et en claquant ses fesses régulièrement, pendant que Patrice l’enculait avec force en lui triturant les tétons alors que Martial enfonçait sa queue profondément dans sa bouche. Elle le suçait tout en se faisant baiser, ses trois trous étaient obstrués pour la première fois de sa vie, elle se faisait prendre comme une bête sans en être consentante mais elle acceptait car c’était le désir d’Hubert.

Les paysans échangeaient régulièrement de position et la grosse queue enfouit dans son petit trou lui faisait un peu mal. En ayant l’image de son corps malmené par les trois géants qui s’occupaient d’elle, Marty jouit enfin. Martial et Philippe les deux plus jeunes s’étaient enfoncés en elle et tour à tour faisaient des allers et retours dans sa chatte et son cul, la faisant râler de plaisir, pendant que Patrice baisait sa bouche. Les trois paysans crades et volontaires, avaient fini par se branler au-dessus d’elle qui venait de prendre un deuxième orgasme, pour jouir sur son visage tour à tour, une vraie douche de sperme.

Quelques minutes plus tard, Hubert lui avait amené un petit repas, lui disant qu’elle n’en avait pas fini. En effet, vers minuit, alors que Martine venait de s’endormir avec difficulté, elle fut réveillée en sursaut par Hubert accompagné par neuf types de la cité :
— Tiens voilà ton dessert sale petite garce. Fais les tous jouir dans ta bouche, je n’en veux pas une seule goutte par terre.

Pendant trois quart d’heure, la jeune femme dut sucer et branler les neuf bites de grosseur et couleur différentes à tour de rôle. Lorsque le dernier quittait le sous-sol, Hubert lui mit une nouvelle fessée, prétextant qu’un peu de sperme s’était répandu sur le sol puis l’encula brutalement. Cette fois, Martine épuisée n’avait pris aucun plaisir, elle pleura un long moment sur sa couche pour sombrer dans un sommeil profond jusqu’au petit matin. Le dimanche soir, elle revit les trois paysans mais cette fois, ils furent si brutaux qu’elle n’avait pas atteint l’orgasme. La nuit ce ne fut pas neuf gars du quartier mais quinze qu’elle dut avaler avant qu’Hubert ne lui remette une belle série de claques sur les fesses avant de la prendre dans le vagin cette fois avec la même brutalité.

N’ayant pas eu de nouvelle du week-end, Jacques qui s’était inquiété était venu le lundi matin chez Hubert où celui-ci assez fier de lui, l’avait conduit au sous-sol où il découvrit sa petite chérie nue allongée sur les palettes en train de sangloter :
— Tu devrais me la laisser une semaine entière, je ferais d’elle une vraie chienne. Tu pourras la mater se faire niquer sur les parkings par des routiers. Tiens v’là les vidéos, tu pourras te branler en les regardant. Dit Hubert en présentant sa queue devant la bouche de Martine : Suce salope !

Au moment où celui-ci présenta sa queue devant son visage, celle-ci ouvrit la bouche et mordit son gland très fort. Le photographe hurla de douleur pendant que Jacques répondait : « Ta gueule Hubert, t’as de la chance, nous ne porterons pas plainte mais ne t’avise pas à t’approcher de Martine. » Le retraité se tenait le sexe, il saignait et alla se soigner dans la salle de bain pendant que la jeune femme sauta au cou de son sauveur en s’excusant de son comportement. Depuis ce jour, elle n’eut plus jamais l’occasion de croiser cet homme et fut heureuse d’avoir pu enfin se libérer de son emprise.

Après cette mésaventure, ne désirant plus revivre cet enfer, d’un commun accord, ils avaient interrompu leurs séances de sexe particulières et décidèrent de vivre leur amour normalement, comme de nombreux couples. Cependant après six mois, sans se l’avouer, ils avaient l’un comme l’autre très envie de recommencer. Après avoir passé une semaine de vacances à Moscou, en juillet 1988, la veille de leur départ, Martine toujours assoiffée de sexe, refusa après son premier orgasme de renouveler avec un sextoy et avoua à Jacques qu’elle aimerait bien revivre les bons moments passés avec les amants qu’il lui choisissait. Pendant les sept années qui suivirent, si elle ne pouvait se passer de faire l’amour tous les jours avec « Pierre » le phallus préféré de Jacques et jouir plusieurs fois avec de nombreux autres jouets, il lui fallait tout de même, une vraie verge tous les quinze jours. Ce fut la raison pour laquelle, un de leurs nombreux amis, choisi pour la grosseur de son sexe venait remplacer ses multiples sextoy.

Lors de leur deuxième tour du monde qui dura six mois, à chaque ville qu’ils visitaient, ils recherchaient des parfaits inconnus au bar des hôtels et vu le physique de Martine, ils n’avaient aucune peine pour trouver un ou deux partenaires, souvent des sexagénaires en manque de sexe, pour venir satisfaire leurs fantasmes. Ce qu’elle regrettait avec le latex, sida oblige, c’était de ne plus sentir la douce chaleur du sperme se rependant au fond de ses entrailles par devant ou par derrière. Dans cette vie de débauche sexuelle, elle eut l’occasion de connaitre une multitude de partenaires, de nombreuses queues lui avaient rempli la bouche, le vagin ou le rectum.

Elle ne pouvait pas dire quel type d’homme l’avait fait jouir le plus, elle les aimait tous, les africains, les asiatiques, les arabes, les américains, les latinos et les européens. Une chose était sûre, elle ne se lassait pas, la grosseur du sexe importait peu, il fallait que celui-ci soit vigoureux et bien dur. Plus les années passaient, moins Jacques et ses amis pratiquement tous septuagénaires ne parvenaient à contenter sexuellement Martine qui se lamentait car ils venaient plus pour se faire dominer par leur belle maitresse. Elle prenait de moins en moins de plaisir avec ces hommes et elle était dans l’obligation de jouer seule avec ses sextoy. N’ayant plus de locataire dans son appartement parisien et s’ennuyant dans cette ville d’Orléans, en 1995 ils déménagèrent à Paris où la vie était bien moins triste qu’en province. Pendant plusieurs années, tous les week-end, ils fréquentèrent les clubs libertins où Martine put assouvir toutes ses envies sexuelles dont elle avait tellement besoin.

En 1998, Jacques venait de fêter ses 73 ans lorsqu’il eut un problème de prostate, il avait des troubles érectiles et des difficultés pour éjaculer. Il n’avait plus goût à rien, il s’était réfugié dans son travail, il ne quittait plus son bureau. Martine se sentait mal car ils ne sortaient pratiquement plus, ils ne voyageaient plus. Elle qui n’avait que 43 ans, elle désirait que son mari retrouve l’envie de s’amuser. N’ayant plus l’occasion de faire l’amour, comme par le passé, il se rendait bien compte que sa petite chérie était malheureuse et lui avait proposé de continuer à prendre des amants de son choix. Insistant sur le fait qu’elle pouvait le faire sans qu’il soit présent.

Ils se marièrent en octobre 2000. Âgée de 45 ans, Martine n’avait jamais connu la joie de la maternité, surtout que son mari âgé de 75 ans ne pouvait plus éjaculer. Elle le regrettait aujourd’hui, en revenant dans ses souvenirs, elle s’en voulait d’avoir pensé qu’au sexe pour son propre plaisir. Jacques très affaibli par sa maladie ne venait pas participer aux infidélités de son épouse. Un an plus tard, il était arrivé au bout du rouleau, il décéda en laissant à Martine tous ses biens, elle hérita d’une petite fortune.

Avec l’âge, elle appréhendait la vieillesse, elle avait l’impression d’avoir perdu son pouvoir de séduction, les hommes ne la voyait plus comme la jeune fille qu’elle était. Pourtant son appétit sexuel ne diminua pour autant. Pendant les vingt années suivantes, au fur et à mesure que Martine vieillissait, étant très bien conservée, elle choisissait ses amants de plus en plus jeunes, elle s’était transformée en cougar redoutable. À 65 ans, elle s’était même permise et elle en était fière de dépuceler un petit jeune de 18 ans à peine. Il ne vit pas avec elle, c’était ce qu’elle avait envisagé mais elle lui avait tout appris et il venait régulièrement une fois par semaine la combler. Il la baisait par devant et par derrière avant de repartir avec une petite enveloppe.

Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Martine, vous avez envie de raconter vos histoires d’amour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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